Fréhel
Le vent souffle,
sourd et fourbe,
ventre lourd,
me fend l'antre
et me plante,
fumantes, ses plaintes
tandis que vascillante
je me fige
en un infini vertige.
Le vent souffle,
sourd et fourbe,
ventre lourd,
me fend l'antre
et me plante,
fumantes, ses plaintes
tandis que vascillante
je me fige
en un infini vertige.
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